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Chez les amis
Les Sept filles d'Ève
--> La saga des grands-mères de l'Europe

Souvent, les titres ne tiennent que partiellement, voire pas du tout leurs promesses.  Celui de Bryan Sykes, au contraire, tient beaucoup plus que ce qu'il annonce...

Car si l'ouvrage se referme bien sur la saga de nos grands-mères, il couvre d'abord bien d'autres découvertes, toutes en lien avec les propriétés de ce que Bryan Sykes appelle le " messager spécial " : l'ADN mitochondrial.  Celui-ci possède des propriétés spécifiques extraordinaires.  Issu des mitochondries, ces minuscules structures baignant dans le cytoplasme (1) des cellules, il ne contient pas de chromosomes, contrairement à l'ADN du noyau.    De plus, alors que l'ADN nucléaire résulte de la combinaison de l'ADN des deux parents, l'ADN mitochondrial n'est transmis que par la mère (2) : il est donc théoriquement possible de retracer la filiation d'une personne par la ligne matriarcale jusqu'à des temps très reculés.  Ensuite, l'ADN mitochondrial possède une " zone de contrôle ", sorte de superviseur de la transmission des gènes, constituée de 500 bases (3) seulement, ce qui raccourci considérablement la durée des examens et leur coût.  Enfin, cette zone de contrôle mute naturellement tous les 10.000 ans , ce qui est à la fois plus rapide que l'ADN nucléaire, mais suffisamment lent au regard de la durée de la vie humaine, pour suivre efficacement l'évolution des générations et comparer les proximités génétiques des populations : si on constate une mutation entre les ADN de deux personnes, cela signifie qu'elles ont un ancêtre commun vivant il y a dix mille ans et ainsi de suite.

Le livre s'ouvre sur Oetzi, l'Homme des Glaces, vieux de plus de cinq mille ans, découvert dans les glaces du Tyrol du Sud le 19 septembre 1991 par deux alpinistes allemands.

Bryan Sykes a été amené à examiner l'ADN mitochondrial d'Oetzi et en a tiré la conclusion qu'il s'agissait bien d'un Européen vivant il y a un peu plus de 5.000 ans.   Bien plus, intrigué par la question d'un journaliste lui demandant qui sont les Européens qui partagent le même ADN qu'Oetzi, Sykes va se lancer dans une recherche d'échantillons et découvrir que, parmi les descendants de l'Homme des Glaces, figure une amie irlandaise, Marie Moseley, dont l'ADN mitochondrial présente une similitude indéniable avec celui de son ancêtre !

Suivent trois chapitres sur l'ADN et ses fonctions, la découverte des groupes sanguins et de l'ADN et sur le " messager spécial ", l'ADN mitochondrial.

Quelques temps après l'analyse de l'ADN d'Oetzi, Sykes est de nouveau confronté à une demande particulière : l'identification de corps retrouvés dans les environs d'Iekaterinbourg par le géologue russe Alexandre Avdonine et que ce dernier présentait comme ceux du Tzar Nicolas II et de sa famille.  L'analyse prouvera non seulement que quatre parmi les cinq corps étaient bien des Romanov, mais que Bryan Sykes lui-même partage un lien de parenté avec ... le Tsar Nicolas II !

Le chapitre six, " L'énigme du Pacifique " raconte comment, suite à un accident de vélomoteur sur l'île de Rarotonga, il fut intrigué par une question qui divise les scientifiques du monde entier depuis deux cents ans sur la provenance des Polynésiens : sont-ils originaires de l'Asie du Sud-Est comme le pensent la majorité des scientifiques européens ou venaient-il d'Amérique comme le soutenait Thor Heyerdahl, qui avait tenté de le prouver avec le voyage de son bateau polynésien reconstitué, le Kon-Tiki ?

Obligé de prolonger ce qui ne devait être qu'une courte escale entre deux avions, Sykes profite de ses contacts avec l'hôpital local pour se procurer de l'ADN mitochondrial contenu dans les fioles utilisées pour les examens sanguins de la population de l'Île.  Surprise : seize sur les vingt échantillons analysés sont semblables et marquent donc une origine commune, trois autres diffèrent des premiers par une seule position tandis que le vingtième n'est rattaché à aucun des précédents, son ADN différant de neuf positions...  Sykes se demande alors si ce dernier échantillon ne provient pas d'un touriste de passage.  Plus tard, rencontrant une collègue à Hawaii, il procède à une comparaison des vingt échantillons : les dix-neuf premiers correspondent aux types les plus répandus à Hawaii, tandis que le vingtième correspond à un autre type, minoritaire et, semble-t-il, plus ancien.

C'est en analysant plusieurs milliers d'échantillons provenant d'Asie du Sud-Est et de Polynésie que les réponses ont surgi : les Polynésiens sont bien originaires du Sud-Est Asiatique.  Ils sont apparentés aux Bunum, aux Ami, aux Atayal et aux Paiwan, différentes peuplades vivant aux alentours et à  Taïwan.  Quatre pour cent d'entre eux ne viennent pas d'Asie du Sud-Est asiatique, mais de Nouvelle-Guinée, où une femme a peut-être embarqué à bord d'un canoë lapita.  Les Polynésiens ont donc effectué des voyages de plusieurs milliers de kilomètres à bord de leurs célèbres voiliers et étaient, sans conteste, les meilleurs navigateurs de leur époque !

L'épisode polynésien définitivement clos, Sykes s'attaque à une autre énigme scientifique : l'Homme de Neandertal est-il notre ancêtre, au même titre que celui de Cro-Magnon ou son espèce s'est-elle éteinte sans laisser de trace dans l'ADN de l'Homo Sapiens moderne ?

Avec un brio et un humour inaltérable, Sykes nous dépeint son enquête dans les écoles du Nord de l'Angleterre avant de parvenir à la conclusion : l'homme de Neandertal n'est pas un de nos ancêtres, son ADN mitochondrial n'a rien de commun avec le nôtre.  Si des unions ont eu lieu entre hommes et femmes de Neandertal et leurs homologues du genre Sapiens, leurs enfants (si tant est qu'ils aient pu en avoir) auraient été stériles, leurs chromosomes sexuels ne pouvant donner la vie à un être hybride.  Pour une raison toute simple : alors que les Néandertaliens possédaient 48 chromosomes, nous n'en possédons que 46.  Comme ils doivent aller par paire pour concevoir un enfant, la paire 24 du Neandertal n'aurait pas rencontré de contrepartie chez le parent Sapiens.

Ce n'est qu'au chapitre 14 que le sujet dont le livre tire son titre apparaît : les 7 filles d'Ève.
Dans le chapitre précédent, Sykes avait prouvé que l'Homme de Cheddar, un chasseur-cueilleur du paléolithique supérieur, partageait une belle continuité ADN avec nos contemporains.

Cette découverte renforça la conviction de Sykes qu'il était possible, en examinant l'ADN mitochondrial d'un nombre suffisant d'Européens, de remonter jusqu'aux mères de l'ensemble de la population actuelle.

Ces recherches prouvèrent d'abord que 95 % des Européens actuels se classent dans 7 grands groupes génétiques.  A partir de là, était-il possible de grimper l'arbre génético-généalogique jusqu'aux 7 mères de ces groupes ?

L'âge de ces groupes, d'après l'étude de leur ADN mitochondrial, s'étage entre - 45.000 et - 10.000 ans.  Chacun de ces groupes descend donc d'une seule et même femme qui a vécu entre les extrémités de cet éventail...  Cela ne signifie pas que d'autres mères n'ont pas vécu avant elle, mais tout simplement que leur lignée s'est éteinte sans laisser de trace dans notre patrimoine génétique.  Pour les personnaliser d'avantage, Sykes a donné à chacune de ces femmes un prénom dont l'initiale est la lettre de classement génétique des ces groupes.

Ursula est la plus ancienne des mères européennes, puisqu'elle vivait il y a quelques 45.000 ans, c'est-à-dire pendant une période glaciaire, dans une grotte du Parnasse, là où aujourd'hui sévit un climat méditerranéen qui la surprendrait totalement !  A cette époque, la Grèce était couverte de prairies immenses, des toundras comme on en trouve aujourd'hui en Sibérie et le niveau de la mer s'étendait à une centaine de mètre de celui que nous connaissons.  Le petit clan d'Ursula, une quinzaine d'individus tout au plus, était une petite bande de chasseurs-cueilleurs qui luttaient contre les hyènes et chassaient le bison ou le mammouth.  Cette petite bande était nomade et suivait les troupeaux pour assurer sa survie

Xénia vécut quelques vingt mille ans plus tard, c'est-à-dire il y a vingt-cinq mille ans, dans le Caucase actuel.  Les hommes de Neandertal avaient disparu depuis environ cinq mille ans.  Un vent terrible balayait la toundra qui s'étendait des côtes britanniques au Kazakhstan.  Des troupeaux de bisons et de mammouths laineux parcouraient des distances infinies pour trouver leur subsistance.

Héléna, la Pyrénéenne vécut cinq mille ans plus tard, au début de la plus terrible des glaciations.  Les îles britanniques étaient rattachées au continent et le sol était gelé en permanence jusqu'aux rives de la Méditerranée.  La famille d'Héléna trouvait de quoi vivre entre la côte où elle ramassait des huîtres et des coquillages et l'arrière-pays couvert de forêts où les hommes chassaient les quelques petits cerfs qui pouvaient subsister dans un environnement aussi pauvre.

Velda, quelques trois mille ans plus tard vivait dans le nord de la péninsule ibérique, pendant ce qui fut le cœur de la dernière glaciation, la plus longue et la plus profonde de mémoire d'hommes.  Ce qui constitue de nos jours un des hauts lieux du tourisme estival était alors une enclave où se concentrait la vie animale et végétale à l'abri des glaces permanentes qui interdisait toute subsistance.  Le clan était sédentaire, au chaud dans les grottes cantabriques, même si les hommes chassaient parfois loin du campement au point de s'absenter pour de longues périodes.
Tara vivait à la même période, mais dans une autre région où la survie était possible malgré les conditions épouvantables de l'ère glaciaire : la Toscane.   Celle-ci était un lieu de passage des troupeaux de rennes et de bisons où les chasseurs se rassemblaient aux époques de migrations.    D'épaisses forêts abritaient cerfs et sangliers, pourvoyeurs de viande mais d'une chasse périlleuse.  Une culture artistique extraordinaire se développait dans les quelques lieux relativement protégés de la glaciation, Toscane, Péninsule ibérique, Ukraine et Sud de la France : amulettes, bijoux, peintures rupestres...

Katrine habitait, il y a quinze mille ans, ce qui est aujourd'hui Venise.  Mais une Venise sans eau, la mer étant distante de plus de cent cinquante kilomètres de là... C'était alors le royaume de la forêt, une forêt dense et touffue, dont le souvenir des glaces antérieures s'était éteint...  C'était une terre d'abondance où la vie était généreuse, d'une générosité que les ancêtres de Katrine  ne pouvaient même pas imaginer...

Jasmine, la dernière de nos mères, vivait en Syrie il y a dix mille ans, dans un des premiers villages que connut l'humanité : c'était un ensemble de huttes de torchis abritant quelques trois cents habitants, un nombre bien plus élevé que ce que les campements nomades ou les grottes des sédentaires avaient couvert jusqu'alors.  Les réchauffements brutaux du climat avaient singulièrement adouci la vie dans ces plaines fertiles entre le Tigre et l'Euphrate, mais avaient sans doute englouti une bonne partie des habitants des côtes ou avaient drastiquement réduit leurs moyens de subsistance.

D'autres clans nous relient évidemment à nos ancêtres plus lointains encore... qui sont africains.   A l'époque de la rédaction du livre (2001), 26 autres clans avaient été recensés dans le monde, dont 13 Africains.  Cette longue chaîne génétique devrait nous relier finalement à une seule femme, une Ève africaine qui vivait il y a quelques 150.000 ans !  Une de ses filles, Lara, qui vivait en Éthiopie 100.000 ans avant nous, est la mère des habitants de tout le reste de la planète, un de ses descendants ayant quitté le continent, sans doute avec une petite bande de chasseurs particulièrement aventureux...  La colonisation du reste du monde par l'Homo Sapiens est sans doute partie du Proche-Orient, par le Sinaï.  C'est quelques 50.000 ans plus tard qu'il arrive dans le Nord-Ouest de l'Europe.  Et, après 10.000 ans de cohabitation avec son voisin néandertalien, il reste le seul hominidé vivant sur l'ensemble de la Terre.

Nous descendons tous d'une même famille, mieux : d'une même mère !  Les facéties du code génétique sont telles que l'on peut se retrouver Anglais avec une ascendance polynésienne ou Nord-Américain cousin lointain d'un Chinois de Zhoukoudian !

La notion même de race s'efface devant ce miracle de la vie : une origine unique de toute l'humanité.  Malheureusement, l'homme, l'Homo Sapiens, descendant des chasseurs agressifs qui ont peut-être exterminé son frère Neandertal, éprouve sans arrêt le besoin de reconstituer des groupes sur des bases symboliques et de les affronter pour des raisons plus impérieuses qu'elles sont imaginaires : la couleur de la peau, la religion, la classe sociale, l'appartenance à une élite autoproclamée au détriment de groupes méprisés...  

Apprendrons-nous jamais à aimer la paix ?

 
Au terme de cette lecture, le lecteur se retrouve avec autant de questions et d'interrogations que de réponses et d'émerveillements.  Bref, un livre de sciences comme on aimerait en voir plus souvent, mêlant érudition époustouflante et humour (sans doute dû aux origines britanniques de Sykes),  allégeant en un contre-point agréables des passages plus ardus, mais toujours compréhensibles.  Sykes est un vrai " vulgarisateur ", au sens noble du terme, c'est-à-dire un pédagogue toujours rigoureux, jamais ennuyeux, capable d'expliquer en termes simples et en images éloquentes, les découvertes les plus complexes des sciences les plus récentes.  A mettre d'urgence entre toutes les mains !


(1) Cytoplasme : sorte de " gelée ", composé chimique riche en eau, mais également en éléments complexes, qui forme l'intérieur de la cellule.

(2) Pour une raison toute simple : le spermatozoïde se débarrasse de ses mitochondries en même temps que de sa queue lorsqu'il pénètre dans l'ovule.  Ne subsistent donc que les mitochondries de la mère dans l'œuf fécondé...

(3) Les " bases " sont les éléments essentiels de l'ADN : les nucléotides.  Les scientifiques les représentent par les lettres A pour l'adénine, C pour la cytosine, G pour la guanine et T pour la thymine.  Les combinaisons de ces éléments forment la " séquence ".  Alors que la zone de contrôle se constitue de 500 bases, le reste de l'ADN mitochondrial en compte 16.000 et l'ADN moléculaire en comporte 3 milliards...

Bryan Sykes, Les Sept filles d'Ève, Génétique et histoire de nos origines, traduit de l'anglais par Pierre-Emmanuel Dauzat, Paris, Albin Michel, 2003, (Le Livre de Poche ; 15588), 344 p.

Ecrit par Marco-Bertolini, à 21:05 dans la rubrique "Lire libre".

Commentaires :

  ImpasseSud
14-03-04
à 21:55

En effet, ce livre semble passionant. Je me souviens de la résonnance qu'a eu la découverte d'Oetzly en Italie, et récemment j'ai suivi une émision au sujet de cette mère unique dont nous descendrions tous. Je vais ajouter ce titre à ceux de la liste que j'emporte quand je vais chez mon libraire.

Merci de cette longue description et..... fais-nous des comptes-rendus un peu plus souvent :-))


  Marco-Bertolini
15-03-04
à 12:55

Re:

Merci pour ce commentaire positif.

J'ai été très occupé ces dernières semaines, autant pour des motifs professionnels qu'extérieurs au job.  J'espère pouvoir prendre plus de temps pour Dazibao les jours prochains.

Bises,

Marco.


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18-04-14
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Liliane

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19-09-14
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